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Marianne... La tête dans les nuages

5 juillet 2007

Les pages de notre histoire

Je ne me rappel plus du moment précis, ou je me suis mise a l'aimer... Tout c'est fait le plus naturellement du monde, on c'est trouvé tout les deux la au même moment, au même endroit...dans le monde virtuel. Un monde virtuel ou je me suis toujours efforcé de rester fidèle a moi-même, en gardant l'honneteté dont j'ai toujours fais preuve. Mon chéri, a eu la même mentalité, il s'est présenté tel qu'il était la-bas, au Maroc dans sa vie de tout les jours, il était la avec ses forces et ses faiblesses. Je l'ai aimé pour sa droiture. Je l'ai trouvé la, sans le chercher. Pendant des jours et des jours on a discuter, au début, on parlait de notre quotidien, de nos différences. Plus les mois passait et plus nous nous découvrions des affinités, des passions communes, une vision de la vie qui étais sensiblement la même, même si notre culture et nos traditions était totalement différentes. Plus les jours passaient et plus il devenait indispensable pour moi, ce cher ami pourtant si loin de moi , plus mes sentiments grandissaient. Je l'aimais tout en me disant que c'étais un amour impossible. Que tout nous rapprochait mais qu'en même temps, tout jouaient contre nous ! Le temps, la mentalité des gens, la distance, les différences... Je l'aimais a la folie, et il m'adorait. Comment expliquer au gens tout se qui nous unissaient. Comment dire au gens, je suis amoureuse d'un homme, je l'aime plus que tout mais il habite a l'autre bout du monde... et je ne l'ai jamais vu en personne... C'est difficile a imaginer, pour une personne qui ne l'a jamais vécu. Je me suis souvent questionner au cour des années qui on passé, demandé pourquoi on résistait contre vent et marré, contre tout ce qui nous séparaient. La vie et le destin semblait être contre nous, nous avons vécu beaucoup d'épreuve au cour de ses années, et nos sentiments n'ont fait que grandir, pourtant pour les gens nous n'étions pas un vrai couple. Pour les gens je vivais dans mes rêves, j'étais une grande romantique. Je me suis souvent fait dire que je fuyais l'amour en bout de compte, que je cherchais une ''relation'' sans me donner vraiment puisque j'aimais quelqu'un qui n'étais pas réel pour eux. Je ne pourrai jamais décrire la première fois que mon regard a croisé le sien, dans L'aéroport a Casablanca. En le regardant ce jour la, j'ai eu la conviction, et le certitude que je ne m'étais pas trompé, qu'il étais bien l'homme de ma vie. Dès que j'ai vu ses yeux j'ai su que je ne m'étais pas trompé, que tout ça étais bel et bien réel. J'ai eu ce jour la j'ai eu un vrai coup de foudre, je ne peux encore pas décrire comment je me suis sentis a ce moment la, j'ai tout simplement su. J'ai fais face au commentaire des gens, au septiscisme, a la colère a la non-compréhension de mes amies. Je laisser les gens dire et parler sur ce qu'ils ne savaient pas, ou ne comprenaient pas. A partir de ce moment la, a partir de cette premiere rencontre, j'ai su que j'affronterai la foudre et le tonnerre, pour devenir la femme de cet homme. J'ai toujours vu mon mari comme l'homme que j'aimais, je ne l'ai jamais vu comme le marocain que j'aimais. Je ne me suis jamais arrêter a cela, je suis tomber amoureuse d'Ahmed l'homme. Biensur mon bel amour est marocain, et il vit avec les préjugés causé par certains de ses compatriotes. Mais mon mon belle amour est tombé amoureus de moi, cette jeune femme de maintenant 24 ans. Il n'est pas tomber amoureux de la québecoise que je suis. Biensur nos différences nous on fait tomber sous la charmes mais je ne l'ai pas aimé simplement pour ses cheveux d'ébène, ses yeux marron, son petit teint bazané et son petit accent. Je l'ai aimé en premier lieu pour toute ses valeurs, pour ses convictions, pour sa vision de la vie, et un peu pour sa facon de rire, d'ou se dégage toute la naiveté du monde. Il m'a aimé pour mon esprit de famille, pour ma dévotion dans ce que je fais, mon coté enfantin, et non pas parce que j'étais canadienne, et que cela lui donnerait des possibilités. Il y a une chanson superbement écrit par Manuel Tadros, et chanter par Julie Masse qui a été un peu notre boué au cour des années... '' Tes silences se couvrent de larmes Jusqu'au fond de ton cœur Ce n'sont que des mots jetés en l'air Dis-toi qu'ils n'ont aucune valeur Rien ne doit avoir raison de nous Surtout pas ces gens qui nous condamnent Le bonheur a souvent fait des jaloux Et ce sont eux qui se font mal On fera notre vie ensemble Comme on l'a choisi On a tant de choses À s'apprendre Au lit de la vie On fera notre vie ensemble On apprendra à se défendre On s'aimera malgré le monde Comme on l'a choisi À quel âge vous me dites que l'amour Nous saisit pour de vrai C'est quand on est sûr de vouloir partir Et que rien ne peut nous arrêter Un dernier regard vers le passé Et cap sur les matins de tendresse À nous les partages de nos rêves secrets À nous les nuits entières de caresses On fera notre vie ensemble Comme on l'a choisi On a tant de choses À s'apprendre Au lit de la vie On fera notre vie ensemble On apprendra à se défendre On s'aimera malgré le monde Comme on l'a choisi Et si personne ne peut comprendre Qu'on s'aime à vouloir vivre ensemble On s'aimera malgré le monde Comme on l'a choisi On s'aimera malgré le monde Comme on l'a choisi J'ai toujours cru qu'on irait au bout de nos sentiments. Nous nous connaissons mieux que quiconque justement parce qu'on n'a fait que parlé au cour des années, on c'est découvert, et je sais qu'on se connait mieux que certains couple qui partage le même lit depuis 20ans. Je suis rendu au bout du processus de parrainage, mon bel amour aura son visa mercredi matin le 4 juillet 2007 , après 6 longues années d'embuches...et bientôt il sera ici, avec nous. Et la débutera notre vie, au quotidien, notre vie de famille. Un amour sans limite de temps, des caresses a l'infini pas simplement pour 2 mois, et après les larmes. La tranquilité d'esprit nous attend enfin dans tout les moments de doute qui on pu m'envahir a un moment ou a un autre de au cour de notre relation, au cour de toute ses années. Je n'avais qu'a revoir dans ma tête le regard de mon chéri ce jour la. le jour de notre première rencontre, et cela me donnait la force d'affronter les épreuves, la force de faires face au commentaires des gens, au mécontentement. Je n'avais qu'a repenser a ce premier baiser que nous avons échanger pour me souvenir que tout ça étais bel et bien réel, et que notre amour trimpherait sur tout... Je t'aime mon bel amour, et bienvenue chez toi, chez nous !
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